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Affichage des articles du 2013

La jungle et la Pampa de Rurrenabaque

Nous quittons pour quelques jours les hauteurs de La Paz pour nous diriger vers la jungle Amazonienne. Nous évitons le bus, qui a mauvaise réputation sur ce trajet, et optons pour l'avion. Cela fait un peu mal au budget mais on réduit le temps de trajet de 18 heures en bus à... Une heure! Plutôt agréable. C'est donc à bord d'un petit avion à hélices, qui nous aura fait faire les montagnes Russes, que nous atterrissons sur une belle piste en terre. Nous voici à Rurrenabaque, au milieu de la jungle.  Ici, deux programmes s'offrent à nous : un trek dans la jungle à apprendre des techniques de survie et à faire en sorte de ne pas se faire manger, ou une balade dans la Pampa à bord d'un bateau. L'option jungle profonde m'intéressait beaucoup... mais les chances d'y voir des animaux étaient très faible. Du coup nous partons pour trois jour à bord d'un bateau à moteur sur les rivières de la Pampa, à mis chemin entre jungle et marais.  (

Bolivie - Trek de El Choro

Nous voici arrivé en Bolivie. Une fois de plus nous avons eu le droit à un passage frontière terrestre... Décidément c'est plus confort en avion. Cette fois-ci c'était le jeu de piste. Rien de marqué, rien de précisé et deux grandes files d'attentes. Il était possible de rentrer en Bolivie sans même un coup de tampon, personne ne nous en aurait empêché. Connaissant l'amende à payer... nous avons tout de même préféré prendre un peu de temps pour obtenir ce petit coup de tampon. Après avoir passé cinq minutes dans la première file, on se rend compte que tout le monde a une petite feuille verte... C'est bien ça, il faut faire vingt minutes de queue dans l'autre file pour avoir le droit au petit papier, puis une bonne demi-heure de plus dans l'autre. Mis à part ce petit tâtonnage, nous nous en sommes plutôt bien tiré. Nous avons aussi eu le droit à un contrôle de police mais le pire a été évité. Ces messieurs cherchaient des "faux billets". Heureuse

Trek de l'Inca vers le Machu Picchu

LE TREK DE L'INCA Et la voici la cerise sur le gâteau du Pérou : le trek de l'inca vers le Machu Picchu. Cette fois-ci nous avons fait les choses bien et nous passons par un tour opérator spécialisé sur le trek. Nous aurons donc durant ces quatre jours des guides, un cuisinier et des porteurs qui nous suivrons sur les chemins sinueux. C'est donc le grand luxe! Pas besoin de se soucier de la tente, ni du réchaud, ni des provisions... Quelqu'un s'occupe de nous! Ce petit luxe s'avèrera plus qu'indispensable en pratique. Une fois les sacs terminés, entre duvet, matelas, vêtements chauds, barres de protéines et eau... Mon sac pèse plus de 14kg. Au vu du tracé qui certain jour nous fera grimper plus de 1000m de dénivelé, 14kg c'est bien le maximum que je puisse porter. Nous partons donc le pas léger sur ce chemin anciennement Inca. Il avait pour importante mission de relier la ville de Cuzco (ancienne capitale Inca) et le Machu Picchu. Il n'y

Cuzco et ses alentours pleins de vestiges Incas

CUZCO Située à 3400m d'altitude, Cuzco est l'ancienne capital de l'empire Inca. C'est une superbe ville alliant héritage Inca et colonialisme espagnol. A défaut de trouver des bâtiments purement Inca dans le centre, les espagnols ont conservé l'excellent travail de fondations des incas et ont construit l'ensemble des bâtiments, mêmes les plus immenses, sur celles-ci. Du coup, on retrouve dans toute la ville ces petits murets, parfois taillés d'une façon mystérieusement exceptionnelle. Une petite pièce contre une photo avec un Lama? (lire la suite)

Le Lac Titicaca

PUNO Suite du voyage, nous arrivons sur les rives du mythique lac Titicaca, à plus de 3800m d'altitude. Côté Guinness des Records, c'est le plus grand lac d'Amérique du Sud en longueur, en quantité d'eau et il est considéré comme le plus haut lac navigable au monde. J'en retiens que c'est un lac immense, partagé entre Pérou et Bolivie, et posé à une altitude considérable!  Nous posons nos bagages à Puno, une ville centrale pour les activités qui nous intéressent. Arrivé à l'hôtel, je démarre l'habituel tour de chambre pour vérifier s'il y a de l'eau chaude (c'est mieux vu les températures), si c'est propre, si le lit est confortable, etc. Il y a généralement toujours quelque chose à redire, mais là, arrivé au deuxième étage de l'hôtel, je suis resté le souffle coupé... Mais littéralement. Monter deux étages a un rythme "normal" à 3800m d'altitude... Ca fait ça!  Cette ville est tout ce qu'il y a de plus normal

Le Pérou - 1ère partie

Nous voici arrivé au Pérou, en sa capitale de Lima. Notre vol arrivant à 5h du matin, c'est de nuit que nous découvrirons les premiers traits de la capitale. Difficile de se faire une idée derrière les vitres du taxi... Arrivé à l'auberge, le jour se lève doucement. Si la journée profite à celui qui se lève tôt, elle profite encore plus à celui qui a bien dormit! C'est donc après une petite "grâce matinée" que nous rouvrons les yeux. Des fenêtres de notre chambre, voici ce qu'il nous ait donné de voir... Pour un centre ville, il y a plus accueillant. C'est là que toutes les histoires entendues et les conseils de sécurité du Lonely Planet me reviennent en tête. Je suis désormais en Amérique du Sud... Le danger est partout entre les pick-pockets et les bandes qui vous agressent dans un coin de rue... Vraiment? Dès les premiers pas dans la ville, même en restant sur mes gardes, c'est une sensation plutôt agréable qui en ressort. Ici, pas de

Drake Bay et le parc de Corcovado

Suite à ce passage au Nicaragua et notre petit changement de programme, nous voici de retour au Costa Rica! Cette fois je vous passe le passage en douanes. Mis à part des petites vieilles (pas si vieille) qui ont passé leur temps à gratter tout le monde dans les files d'attentes, cela c'est très bien passé. Nous traversons l'ensemble du Costa Rica pour arriver à notre prochaine étape : la péninsule de Osa. Cette zone est la plus sauvage du Costa Rica. Moins de grandes villes, moins de bâtiments et beaucoup plus de nature. Voilà un planning intéressant! Arrivé au village de Sierpe, la route s'arrête. Nous souhaitons atteindre la baie de Drake et le seul moyen d'atteindre ce village en bord de plage perdu dans la jungle, c'est en bateau. Nous attendons donc notre barque en restant au bord de la rive de Sierpe. (lire la suite)

L'île d'Ometepe sur le lac Nicaragua

Nous quittons Grenade, non sans regret, pour continuer notre périple au Nicaragua. Le plan d'origine était de prendre un ferry au départ de Granada pour rejoindre l'île d'Ometepe en cinq heures. Après que trois personnes nous aient fortement déconseillé celui-ci en raison de son inconfort, nous changeons l'itinéraire et reprenons un Chicken Bus pour nous approcher au plus près de l'île. Au port de la petite ville de San José, ce n'est plus qu'un trajet de une heure en bateau qui nous attend. A l'heure où nous arrivons c'est une barque en mauvais état qui fait le trajet. Pas trop le choix, donc c'est sur ce petit bateau, assis en plein soleil, que nous supporterons pendant une heure le ballottement des vagues. Et des vagues, il y en a. Cela a beau être un lac, les vagues qu'on y voit sont surprenantes. Il n'est pas difficile de s'imaginer au bord de mer... Dès les premières minutes du trajet, on aperçoit distinctement les raiso

Granada, ville au style colonial

Dans notre quête d'authenticité, nous avons sans surprise fait choux blanc à San Juan Del Sur. Pas besoin de s'éterniser, nous mettons le cap sur la ville de Granada. Cette ville est réputée pour son riche héritage architectural colonial. Malgré les invasions et destructions partielles de la ville au cours de nombreux affrontement contre les pirates anglais, français et hollandais, Granada a su gardé en état la plupart de ses bâtiments et garde sa touche andalouse espagnole. C'est au marché que nous décidons de débuter la visite. Les bâtiments attendront! Après tout, est ce qu'un marché n'est pas le meilleur endroit pour avoir un aperçu d'une culture et de ses habitudes alimentaires? En tout cas on plonge tout de suite dans l'ambiance. Chaque étale met sa propre musique latinos, ça parle fort, les bus et taxi clayonnent à tout va pour se faire un chemin à travers les piétons... En deux mots : ça vie. Petite anecdote amusante que je n'ai pas p

Nicaragua - San Juan Del Sur

Nous avons quitté ce paradis pour surfeurs que sont les belles plages de Nicoya pour nous diriger vers le Nicaragua. But de l'opération, découvrir un nouveau pays et, avec lui, une nouvelle culture. Si la côte caribéenne du Costa Rica a une culture reggae marquée, le reste du pays est assez aseptisé. On n'entend pas de musique dans les rues ou les restaurant, pas de style vestimentaire particulier... C'est peut être ce côté "clean" des pays développés? Quoi qu'il en soit, le bus nous dépose en face du poste frontière du côté Costa Rica. Nous passerons cette frontière à pied. Le temps d'un coup de tampon côté Costa Rica, dans des bureaux propres et organisés, et nous arrivons dans ce "no man's land" de deux kilomètres entre le deux pays. Bien qu'il n'y ait rien d'indiqué et qu'on ne sache pas exactement ce qu'on est sensé faire... A force de demander à droite à gauche nous finissons par trouver le poste frontière côté Ni

Péninsule de Nicoya

La découverte du Costa Rica continue par un grand écart. Nous passons de la côte caribéenne à l'Est, à la péninsule de Nicoya à l'Ouest. Grâce au transport en commun de ce pays "développé", le tout se sera fait très facilement en une seule journée. Ca change des périples interminables habituels. Sámara Nous avons la vie dure... Nous quittons des plages paradisiaques pour en retrouver de nouvelles! Seul élément difficile à maîtriser : la météo. Le Costa Rica étant une région très humide... et Juillet étant  dans la saison des pluies... On profite des rayons de soleil quand ils sont là! Oiseaux "batman" Le Costa Rica est un pur bonheur en terme d'infrastructures. On y trouve littéralement de tout, que ce soit restaurants, shoppings, etc. Cela change complètement par rapport à nos précédents pays. En revanche, il y a des désavantages à ce "développement". Les prix sont beaucoup plus élevé. On est très proche des coûts qu'on pou

Costa Rica - Côtes Caraïbes

L'aventure mongole finie, il nous fallait traverser les océans pour arriver à notre prochaine étape : le Costa Rica. Si sur une carte cela semble loin... En avion c'est encore pire. Ajoutez à cela quelques retards...  Au départ de Mongolie, nous avons tout d'abord du attendre quatre heures dans l'aéroport avant de pouvoir monter dans notre avion.  Il y avait des vents violants empêchant le décollage. Le temps de monter enfin à bord, ceux ci se sont réveillés. Du coup nous avons attendu quatre heures de plus à bord de l'avion avant de pouvoir enfin décoller. Trajet sans encombre, nous arrivons à notre première escales (sur trois) à Beijing. Les douanes chinoises étant ce qu'elles sont, nous avons comme à l'aller eu le droit à deux heures d'attentes avant d'obtenir notre tampon. Cela n'a beau être qu'un transfert, il faut un tampon. Nous n'étions dans tous les cas pas pressé puisqu'une nuit dans l'aéroport nous attendait. Petit c

La Mongolie et ses paysages monumentaux

Bienvenue en Mongolie! Ce pays tant attendu qui nous laisse espérer beaucoup de nature et d'aventures... Dès notre arrivée à l'aéroport, le dépaysement commence : personne ne parle anglais! "Lost In Translation" jusqu'à ce que j'arrive à me faire comprendre et qu'on trouve un taxi pour aller en ville. Le taxi s'avèrera être la demoiselle du "point information" qui finissait sa journée. Apparemment ici tout le monde peut s'improviser taxi. Durant ce trajet nous aurons nos premiers fou rire et premières inquiétudes avec Laëtitia. Côté frayeur : même avec un petit dictionnaire, leur langue est quasi imprononçable. Côté fou rire : ils ont des intonations dignes des plus beaux cheveux sur la langue! Ambiance diable de Tasmani dans les Tex Avery! Nous avons tout d'abord pensé à un problème de diction de notre conductrice... mais en entendant la radio... ça se confirme être national. Ulaanbaatar Arrivé à Ulaanbaatar, c'est p

Hong Kong

En chemin entre Bali et Ulaanbaatar, au détour d'un de nos quatre vols, nous profitons d'une escale à Hong Kong pour visiter cette charmante ville. (lire la suite)

Nusa Lembongan au large de Bali

Nous arrivons à la dernière étape de nos aventures indonésiennes. Repartant en avion de Bali, nous profitons donc de nos derniers jours pour aller visiter Nusa Lembongan. Comme toujours, besoin de prendre un bateau pour atteindre notre destination. Manque de peau aujourd'hui il y a beaucoup de vague et ce bateau publique ne peut pas se rapprocher plus près de la plage. Du coup je suis bon pour me mouiller jusqu'au coude pour parvenir à charger nos sacs à bord. (lire la suite)

Croisière en bateau de Labuan Bajo à Lambok

Nous embarquons pour une "croisière" de cinq jours à bord d'un bateau. Au programme : beaucoup de bateau, du snorkeling à chaque arrêt et quelques randonnées! Dès le départ le paysage nous met dans l'ambiance... Une eau bleue et chaude et des îles montagneuses à perte de vue. (lire la suite)

Ile de Seraya - Calme et nature sous-marine

N'allez pas croire qu'il nous arrive des galères tous les quatre matin, ni que nous sommes de bons gros râleurs qui ne se focalisent que sur le négatif... Simplement, je trouve qu'il y a plus de choses intéressantes à raconter sur les embrouilles que sur les journées tranquilles. Du coup, c'est peut être être un peu être râleur... Mais c'est un trait de caractère bien français après tout!!! Ce qui m'amène à vous conter ce nouvel épisode... En route pour le port de Luaban Bajo afin de rejoindre l'ile de Seraya, nous avons une fois de plus garder la tête froide pour ne pas nous faire rouler. Cette fois ci c'était tellement gros que j'ai failli lâcher prise. Comme quoi je n'en rajoutais pas dans mon précédent post. Après de nombreux changements de bateau, bus et ferry, nous arrivons en Van dans un coin de rue un peu mal famé, plutôt sale, qui éveille tout de suite l'envie de rester à côté de son sac... Pourquoi s'arrêter ici plutôt qu

Les îles Gili - Lombok

Haaaaa!!!! De nouveau plages, eau turquoise et sable blanc... Cela m'avait presque manqué! C'est qu'on s'y habitue vite à ces petits plaisirs. Les Gilis sont composés de trois îles : une pour la fête, les beuveries et les champignons hallucinogènes ; une autre déserte avec deux heures d'électricité par jour où l'unique activité est le farniente et une troisième "entre les deux". Nous arrivons donc sur l'entre deux nommé Gili Air, petite île au large de Lombok où les plages sont belles et le snorkeling agréable. On récupère par contre les prix très touristiques (tout est deux fois plus cher qu'ailleurs), les fumeurs de ganja rastafari et les vendeurs de champignons! Ici toutes ces drogues sont légales et les panneaux indiquants "We have fucking bloody fresh magic mushrooms" ne manquent pas! Les consommateurs non plus d'ailleurs. En soit pas de problème, sauf peut être du côté du staff des restaurants et hôtels qui sont tous d

Pura Tirta Empul - Où le business remplace le bouddhisme

Petit coup de gueule concernant ce temple, certes magnifique, mais dont le rapport à l'argent est tellement pressant qu'il en gâche l'expérience. Nous avions regardé le prix de l'entrée du temple dans le Lonely Planet. Il était très raisonnable. Après deux heures de moto pour le rejoindre dans les montagnes, nous arrivons à l'entrée. Nous devons payer nos deux places plus un ticket supplémentaire pour notre moto. Voyant mal comment des gens pourraient venir jusqu'ici à pied, autant dire que tout le monde paye ce billet supplémentaire que ce soit en voiture, bus, ou motobylette. Passe encore, nous payons volontiers...  Dans l'ensemble des temples à Bali, par respect des lieux il faut porter un Sarong (étoffe que l'on met autour de la taille) pour entrer. Nous en avons acheté de très beau mais ne les prenons pas avec nous puisque des sarongs sont prêtés gracieusement dans tous les temples. Durant les 200 mètres qui séparaient le parking moto d

Temple de Pura Besakih - Cérémonie de purification

Nous chaussons à nouveau notre peau de Easy Rider à la découverte de Bali. Première visite de la journée : le temple de Pura Besakih.  Le temps de chausser un Sarong et nous entrons (la classe internationale) Dès notre arrivée au coeur du temple, une aura toute particulière émane de celui-ci. Les gens entrent à tour de rôle dans ce bassin, déposent leurs offrandes et se purifie aux différentes sources. (lire la suite)

Le temple de Monkey Forest

Après nos balades dans le nord de Bali autour de Lovina, nous changeons de camp de base pour Ubud situé dans le Sud de l'île. Bien que ce soit une ville très touristique, celle-ci dégage un climat très agréable. Très orienté "art", on y trouve une très grande concentration de galeries de peintures et sculptures en tous genres, des dizaines de boutiques de vêtements et tous les soirs cinq à six représentations de danse, chant ou marionnettes en ville. Par rapport à la taille de celle-ci, qui se résume à trois rues commerçantes, c'est une énorme concentration. Mis à part le marché qui a gardé une moitié d'utilité pour les locaux, le reste de cette ville semble avoir muté pour mieux accueillir les touristes. Dans ce genre d'endroit, les locaux pourraient être fatigués de ces vagues successives de touristes et se contenter de nous plumer de la façon la plus rapide et efficace. En bon français c'est ce qu'on s'attend à subir lorsqu'on met les

Lovina et ses Dauphins

Pourquoi avoir posé nos bagages à Lovina? Pour ses dauphins bien sur! Le Lonely Planet nous décrivaient une occasion inespéré de pouvoir apprécier ces mammifères marins dans leur environnement naturel. Nous ne sommes habituellement pas très fan de ces Tour organisés, mais nous nous sommes laissés tenter. Une fois n'est pas coutume, c'est avant le levé du soleil que nous nous sommes réveillés. Pour l'occasion nous avions choisi le capitaine d'un petit bateau pour nous conduire. Nous ayant précisé que la saison était basse et que les clients manquaient, nous nous attendions a une petite virée intimiste. Nous profitons dès notre départ d'un beau levé de soleil sur cette mer calme... Mais ce calme ne durera pas. Après quelques minutes ce sont des hordes de bateaux qui suivent notre sillage. Bientôt, des dizaines et des dizaines de bateaux nous suivent dans notre quête aux dauphins... Spectacle affligeant... Je me sens honteux d'être parti dan